Archives de Catégorie: Musique

32 chansons en 8 minutes !

Qui le connait? J’adore !

Son site.

La faute de Susan Boyle

Oui, entièrement.

Avec une copine, on l’a écouté en boucle, et comme j’en avais marre, je lui ai fait écouter des comédies musicales.
J’adore ça, mais je sais que ça n’est pas le cas de tout le monde, il y en a que ça hérisse. C’est même un pléonasme, je suis entourée de gens qui trouve ça cucul. Pas moi.
Ceci est un extrait de Miss Saigon, un musical à succès, cette chanson est celle de Kim, une prostituée vietnamienne à l’époque de la guerre du Viet Nam, qui évoque à sa façon le rêve d’Amérique qui la saisit dès qu’elle prend un soldat américain dans ses bras. (Les images suivent, avec une démoniaque subtilité, les paroles de la chanson…)

Massilia Sound System

A cause de cet article, je découvre le groupe Massilia Sound System. Et j’aime bien. On peut les écouter sur Deezer.

David Bowie avant David Bowie

(Merci à Lili dont l’avant dernier post m’a rappelé que je devais parler de Bowie).

En tant qu’ex fan de David Bowie, ex-parce que ça m’a un peu passé, il fut un temps où je me jetais sur ses disques, tous tous.

Et dans le lot, je me souviens du premier disque de Bowie, écouté en vinyle chez le frère d’un copain.  Du temps où il était un gentil garçon, bien coiffé, avec des pulls.

Après, ça s’est gaté.

Et impossible de retrouver cet album.

Et puis l’autre jour, j’entends parle de Vast fm. Le nouveau deezer. Tiens, je vais tenter, me dis-je. Je crois bien que sur Deezer, je n’avais trouvé que du Bowie classique. Et là, sur vast, en cherchant David Bowie, je tombe sur la couverture de son premier album.

ça.

Oh oh, me dis-je.

Bon, les trois premiers titres sont introuvables, et le quatrième, bien que le titre affiché soit « Love you til tuesday », c’est Ground Control to Major Tom qui passe. Donc strange le nouveau deezer.

N’empêche que du coup j’ai retrouvé tous les titres des premiers Bowie.

C’est bien comme je me souvenais.

Vous connaissez David Bowie?

Eh bien là c’est … c’est…. Décoiffant. Surprenant. Et ce look. On en reste…. saisi, je trouve.

Mais j’aime bien, j’avoue. C’est vrai qu’on attend un peu des nounours qui sautent partout, mais quand on aime on ne compte pas.

Vous connaissiez ou pas?

Tarkan

Alors bien sûr, on va dire que Tarkan c’est kitsch. Oh, ben oui que c’est kitsch !! C’est pour ça que c’est bien. C’est nettement plus premier degré que Benabar. Quoique Bénabar, c’est premier degré aussi, mais pas le même.
Et on va dire : elle a découvert Tarkan avec Simarik. Vi, vi, j’avoue. Même pas honte, car j’adore ça, Simarik. Mais il n’y a pas que.
Là, on revisite le camping car. Il a pas de chemise, mais il est chez lui, et puis il fait chaud.

Là, c’est que c’est dur d’être un sex symbol. Et c’est vrai que pas facile, hein. Les Turques sont passionnées.

Et voilà Simarik, pour celles et ceux qui ont les mêmes goûts que moi, il doit bien en avoir un ou deux. Ce qui est grave, c’est que j’aime autant que Boulat Okoudjava.

Musique – les désastres de la guerre

Pourquoi cette terrible lithographie, extraite de la série les désastres de la guerre, de Goya, et qui évoque les exactions des troupes françaises en Espagne au début du XIXème siècle ? Pour nous souvenir que nous aussi, il ny a pas si longtemps, nous nétions pas si tranquilles

Un extrait des "désastres de la guerre", de Goya, qui évoquent les exactions des troupes françaises en Espagne au début du XIXème siècle - en rapport avec la chanson

Alors vite, vite.

Ça fait longtemps que je pense à un post sur Boulat Okoudjava. Si, si, il y a des gens qui s’appellent Boulat Okoudjava. Il se trouve qu’il y a quelques jours j’ai regardé avec un copain Lord of War, et j’y ai repensé, du moins à cette chanson.

Les mélodies de Boulat Okoudjava sont très proches de moi, et c’est curieux, car je ne suis pas russe, mais je l’ai écouté à cause de Constantin (un ex collègue roumain qui tenait beaucoup à rappler que les Roumains n’étaient pas des Slaves – déjà parlé de lui, mais flemme de mettre un lien), mais il m’a fait découvrir Boulat Okoudjava, et j’ai aimé tout de suite, comme ça, instantanément. Pourquoi? Peut-être parce que ça ressemble à Brassens, et que je suis fan de Brassens – mais pas non plus tant que ça. Enfin pas tout le temps. Vous savez ce que c’est, on se met à écouter en boucle une chanson, jusqu’à en avoir les nerfs à fleur de peau… Non?

Bon, celle-là, il y a six mois, j’ai du l’écouter pendant une semaine au moins. Son thème est éternel et international – toujours d’actualité, peut-être un peu plus chaque jour. En l’occurrence la chanson est bien servie par les images, mais dites moi si la simple musique, sans même comprendre les paroles, n’a pas un sens? Et pour ceux qui connaissent, ne pense-t-on pas aussi à Paco Ibanez?

Musique!

Par une amie à qui je dis qu’un merci mitigé (elle dit qu’elle va faire un blog, on en parle machin machin, et puis quoi? rien – merci, hein), je découvre deux groupes.

Ils sont My Space et probablement inconnus (ou pas – parfois, je suis larguée).

Je les ai écouté en boucle hier soir, et ça correspondait pile poil à mon état d’esprit (triste – mais pas – car non, je suis triste, mais je résiste, et je ne veux pas, malgré ce que j’ai écrit hier, penser que les choses, pire, ici, et maintenant, qu’ailleurs, ou avant – je n’aime pas ces facilités de la tristesse, même si je tombe dedans trop facilement). Donc triste, mais qui ne veut pas l’être.

Ma question est : qui les connait?

Non mais parce que comme j’aime beaucoup, je m’interroge.

Donnez moi votre avis.

Là, je dois bosser mais ce soit, je file sur My Space (pour info : je pars très souvent à la recherche de titres sur My Space et je ne trouve rien, et puis là paf ! sans chercher ?).

Parfois, quand je suis comme ça, un peu entre deux, une musique me paraît apporter un tel  soulagement que j’en suis folle pour des mois, avant que la magie cesse d’opérer. Mais là, dernièrement, je n’aimais plus rien.

Face à la mer

Nihil.

Manu Chao : Me llaman calle

J’adore Manu Chao.

Lui et moi, c’est tout une histoire. Quand son premier album solo est sorti, je l’ai acheté et je suis tombée amoureuse du disque. Il n’y a pas d’autres mots. Or, comme j’ai une tendance obsessionelle, je l’ai écouté, je ne sais pas, peut-être dix fois par jour pendant un an, en boucle, tous les jours, toute la journée.
Et puis peu à peu j’ai cessé de l’écouter. ça m’a passé.
Et je me suis rendue compte que je ne pouvais plus écouter cet album : Clandestino. J’en suis écoeurée. Enfin, maintenant ça commence à revenir mais je l’ai tellement écoutée qu’il me reprojette instantanément dans la période que je vivais à l’époque, et qui n’est ni meilleure ni pire qu’une autre, mais avant tout passée, et je n’aime pas le passé, quand il me ressaisit par surprise.
Heureusement, Manu Chao a fait d’autres albums…

Alan Parson’s Project : Eye in the sky

Moi aussi, je veux mettre de la musique. Pis là c’est le soir, vous pouvez écouter chez vous tranquilles.

(C’est mieux dans le noir, avec une lampe sur laquelle vous mettez un chiffon rouge et un verre de vin).

(Vous ne faisiez pas ça avec vos copines? Si? Ou vos copains? Je ne sais pas, moi je faisais ça avec une copine en quatrième ou en troisième, sans vin, et après, en fac, avec vin.)

Alain Souchon offre sa dernière chanson

Bon, la chanson, je n’aime pas trop trop, hein, mais l’idée et l’esprit, c’est rafraîchissant, ça change.

Un cadeau en ces temps troublés, merci…

Cliquez ici.